Les Bretons ont débarqué à Douarnenez le 05 juin pour une belle réunion régionale

Une quarantaine d'adhérents et leurs conjoints des quatre départements bretons et de Loire-Atlantique ont convergé vers Douarnenez (Finistère) pour assister à la réunion annuelle du comité Bretagne. Ces retrouvailles à l’hôtel-restaurant Le Clos de Vallombreuse organisées par Pierre BAUDIC (EMA79-Ségala), président du comité et par Marc BOISSAN (EMA92-Lacordaire) ont été fort appréciées de tous. Notons la présence du général Jean FLEURY (EA52-Dartois), chef d’état-major de l’armée de l’air d’avril 1989 à décembre 1991. 

Après un point de situation sur les activités de l'AEA et de ses comités vie associative, reconversion et entraide par Pierre BAUDIC, le lieutenant-colonel Thomas GUILBAUD (EMA98-Vasseur), commandant le détachement Air 928 de Brest-Loperhet a balayé les actualités de l’Armée de l’air et de l’espace avant de se focaliser sur les activités de son détachement. 

Le sénateur Philippe PAUL, vice-président de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat a fait également l'honneur de sa présence à cette réunion. Maire honoraire de Douarnenez et officier de réserve de l’Armée de l’air, il est revenu sur son parcours militaire, comme appelé de la "85/12" à Tours puis son passage par les EOR, dont il garde un excellent souvenir. Il a présenté son travail de parlementaire et les dossiers sur lesquels il travaille actuellement sans en dévoiler entièrement le contenu, confidentialité oblige. 

L'ensemble des participants a pris ensuite la direction de la terrasse pour une traditionnelle photo de groupe et un apéritif sous le soleil, avant de se retrouver dans la salle à manger pour un déjeuner où les délices de la mer ont eu la part belle. Le sénateur Philippe PAUL a réservé une surprise de taille à l’assemblée en offrant un kouign-amann préparé par le cuisinier du restaurant, un Douarneniste comme lui avec lequel il a fait ses classes à Tours. Après cet excellent repas, un peu de marche à pieds a permis d'assurer d'une part une bonne digestion et d'autre part de se rendre au port-musée pour y découvrir sous la direction d'un guide ses richesses : l’évolution de la ville, la dure vie des pêcheurs de sardines et des femmes dans les conserveries au XIX° et début du XX° siècle, les grèves, les bateaux qu’il renferme et les difficultés pour assurer leur restauration. 

Rendez-vous pris en 2025 dans une autre localité bretonne !